Depuis 2016, la Protection universelle maladie (PUMa) garantit à toute personne résidant en France de manière stable et régulière la prise en charge de ses frais de santé.
Mais cette protection n’est pas toujours gratuite : dans certains cas, les assurés doivent s’acquitter d’une contribution spécifique appelée cotisation subsidiaire maladie (CSM).
Souvent méconnue, la CSM peut représenter plusieurs milliers d’euros par an et concerner des profils variés : indépendants, professions libérales, rentiers, personnes en transition professionnelle, conjoints inactifs…
Pourtant, quelques mesures simples peuvent parfois permettre de l’éviter ou de réduire son montant.
Préparer son départ à la retraite devrait être une étape réjouissante, synonyme d’aboutissement professionnel. Pourtant, pour de nombreux Français, cette période se transforme en parcours du combattant. La raison principale ? Le poids écrasant des démarches administratives, souvent longues, complexes et peu lisibles.
Entre les régimes multiples, les documents introuvables, les erreurs dans les relevés de carrière et les délais de réponse, cette pression constante génère stress, fatigue mentale et découragement. Dans cet article, nous explorons les raisons de ce phénomène, les profils les plus concernés, et les solutions concrètes pour mieux s’en prémunir.
Le statut de conjoint collaborateur concerne principalement les époux ou partenaires de chefs d'entreprise, artisans, commerçants ou professions libérales, qui participent régulièrement à l'activité professionnelle sans percevoir de rémunération. Bien que ce statut offre une reconnaissance du rôle du conjoint dans l'entreprise, il présente des spécificités en matière de retraite qu'il est essentiel de comprendre pour optimiser ses droits.
La retraite constitue une étape majeure de la vie professionnelle. Qu’elle soit attendue avec impatience ou source d’inquiétude, elle nécessite une préparation rigoureuse. En 2025, de nombreuses évolutions impactent les futurs retraités : réforme des retraites, allongement de la durée de cotisation, nouvelles règles sur la retraite progressive ou le cumul emploi-retraite.
Dans cet article, nous vous proposons une synthèse complète et à jour pour anticiper sereinement votre départ à la retraite, optimiser votre pension et éviter les pièges.
Un problème de santé peut bouleverser une vie professionnelle… mais aussi impacter significativement les conditions de départ à la retraite. Inaptitude au travail, invalidité, incapacité permanente, handicap reconnu : autant de situations spécifiques qui peuvent donner droit à un départ anticipé à la retraite ou à des conditions avantageuses.
Le départ à la retraite est une étape administrative et personnelle majeure. Il ne suffit pas de souffler sa dernière bougie professionnelle pour percevoir sa pension : encore faut-il avoir accompli les démarches nécessaires en respectant des délais bien précis. Trop souvent, les futurs retraités sous-estiment le temps de traitement par les caisses, les éventuels allers-retours dus à des pièces manquantes, ou encore les erreurs sur leur carrière. Résultat : un départ retardé ou des pensions versées en décalé.
Chez Retraitexpertise, nous le constatons chaque jour : l’anticipation est la clé d’un départ à la retraite réussi, sans perte financière ni stress inutile.
Depuis plusieurs mois, le gouvernement prépare une nouvelle avancée en matière de retraite : l’abaissement de l’âge d’accès à la retraite progressive à 60 ans, contre 62 aujourd’hui. Cette mesure, attendue pour le 1er septembre 2025, concernera aussi bien les salariés du privé que les fonctionnaires d’État. Pour de nombreux actifs, c’est une chance unique de faire une transition en douceur vers la retraite, tout en continuant à cotiser. Mais est-ce vraiment toujours intéressant ? Analyse complète et conseils pratiques par Retraitexpertise.
À l'approche de la retraite, de nombreux salariés s'interrogent sur la stratégie optimale pour terminer leur vie professionnelle. Deux options principales se présentent : prendre directement sa retraite ou négocier une rupture conventionnelle avec son employeur. Ce choix mérite réflexion, particulièrement dans le contexte des récentes réformes des retraites et de l'assurance chômage. Examinons les implications du départ volontaire à la retraite.
Bonne nouvelle ! La période de déclaration fiscale s'est ouverte ce jeudi 10 avril avec un changement significatif concernant les couples. À partir de septembre 2025, le taux individualisé sera appliqué automatiquement, en remplacement du taux unique par foyer jusqu'ici en vigueur. Voici ce que vous devez savoir.
Chaque année, des milliers d’indépendants, dirigeants, professions libérales et expatriés partent à la retraite avec une pension inférieure à ce qu’ils pourraient percevoir. Pourquoi ? Parce qu’ils n’ont ni vérifié leur relevé de carrière, ni anticipé certaines démarches cruciales.
L’éducation ou la prise en charge d’un enfant en situation de handicap peut ouvrir droit à des avantages spécifiques pour la retraite, permettant notamment d’acquérir des trimestres supplémentaires et d’anticiper un départ à taux plein.
L’optimisation des droits à la retraite est essentielle pour les parents aidants, dont la carrière peut être impactée par la charge d’un enfant en situation de handicap. La réforme des retraites de 2024 a renforcé ces dispositifs afin de mieux reconnaître leur engagement et d’améliorer leur calcul des pensions.